La reconnaissance faciale, technologie biométrique en plein essor, soulève des enjeux éthiques et juridiques majeurs. Utilisée pour des applications variées, comme le déverrouillage de smartphones ou l’ouverture de comptes bancaires, elle pose des questions sur la protection des données personnelles. En Europe, le RGPD impose un cadre strict, exigeant le consentement des individus et une analyse d’impact pour tout projet à risque. La CNIL veille à ce que son utilisation respecte la vie privée, notamment pour les mineurs. Les législateurs cherchent à équilibrer innovation technologique et respect des droits fondamentaux dans un contexte de surveillance accrue.
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