Dans une affaire de contrefaçon, un galeriste a été reconnu coupable d’avoir attribué à tort des gouaches au peintre Miro. Bien que la galerie n’ait pas apposé de tampon sur les œuvres, l’utilisation d’étiquettes collées sur le châssis et le cadre a suffi à établir la contrefaçon. Cette décision souligne l’importance de l’authenticité dans le marché de l’art et les conséquences juridiques des fausses attributions. Le Tribunal de grande instance de Paris a statué sur cette affaire le 30 mai 2008, rappelant ainsi la vigilance nécessaire dans la vente d’œuvres d’art.
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