La fille d’Albert Camus a obtenu la condamnation d’une société de vente aux enchères pour avoir vendu sans autorisation une série de lettres de son père, considérées comme des œuvres originales protégées par le droit d’auteur. Ces lettres, échangées entre Camus et Blanche Balain, révèlent des aspects intimes de sa vie, ses réflexions sur l’écriture et des commentaires sur son œuvre. Le droit de divulgation, qui appartient à l’auteur de son vivant et à ses descendants après sa mort, a été violé, soulignant l’importance de la protection des œuvres littéraires et de l’intimité de l’écrivain.
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