Cour d’appel de Paris, 8 septembre 2015
Cour d’appel de Paris, 8 septembre 2015
La fille d’Albert Camus a obtenu la condamnation d’une société de vente aux enchères pour avoir vendu sans autorisation une série de lettres de son père, considérées comme des œuvres originales protégées par le droit d’auteur. Ces lettres, échangées entre Camus et Blanche Balain, révèlent des aspects intimes de sa vie, ses réflexions sur l’écriture et des commentaires sur son œuvre. Le droit de divulgation, qui appartient à l’auteur de son vivant et à ses descendants après sa mort, a été violé, soulignant l’importance de la protection des œuvres littéraires et de l’intimité de l’écrivain.

Pour accéder à ce contenu juridique premium inscrivez-vous ici.


0 0 votes
Évaluation de l'article
S’abonner
Notification pour
guest
0 Commentaires
Le plus ancien
Le plus récent Le plus populaire
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires
Chat Icon
0
Commenter / Poser une questionx