Les photographies de presse, qu’elles soient politiques ou sportives, peinent à obtenir la protection du droit d’auteur en raison de leur manque d’originalité. Les clichés pris sur le vif, souvent sans choix de mise en scène ou d’éclairage, sont jugés trop banals. Le cadrage et la composition, dictés par l’événement, ne suffisent pas à conférer une empreinte personnelle au photographe. Même les photographies sportives, capturées dans des moments d’action, manquent de créativité, car le photographe n’a pas le contrôle sur le déroulement du jeu. Ainsi, l’originalité, essentielle pour la protection, reste souvent absente.
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