La complaisance de la presse vis-à-vis de la vie privée peut atténuer le préjudice reconnu par les tribunaux. En effet, un éditeur a demandé une réduction de l’indemnisation suite à une atteinte à la vie privée, arguant que la présentatrice avait elle-même contribué à la diffusion d’informations personnelles. Dans une affaire où un magazine a annoncé une grossesse sans fondement, le juge a noté que la mise en scène de la présentatrice, acceptée par elle, justifiait une diminution des dommages et intérêts. Ainsi, la complaisance peut influencer l’évaluation du préjudice subi.
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