Le journal Lyon Mag a publié un article accusant M.Y d’avoir poussé M. A. au suicide et d’avoir saboté la voiture d’un témoin. M.Y a alors assigné le journal, son directeur et l’auteur en diffamation. La Cour a jugé que le délit était constitué, rejetant l’exception de bonne foi du journaliste, qui n’avait pas prouvé avoir mené des investigations suffisantes. Les juges d’appel ont également validé l’assignation en diffamation, précisant que la notification au siège du journal était conforme à la procédure. Cette affaire souligne l’importance de la véracité des informations dans le cadre des délits de presse.
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