La condamnation du Figaro pour diffamation a été confirmée par les juges, qui ont accordé 1 000 euros de dommages et intérêts. L’article incriminé évoquait des accusations de corruption et de conflits d’intérêts dans le secteur éolien, sans fournir de preuves suffisantes. La juridiction a estimé que les propos portaient atteinte à l’honneur de la société concernée et que la journaliste avait manqué de prudence en insinuant que la gérante de la société était l’unique responsable des conclusions favorables à un projet éolien. Ainsi, bien que le sujet soit d’intérêt général, les allégations manquaient de fondement factuel.
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