Dans l’affaire opposant Marine Le Pen à SOS Racisme, la question de la bonne foi en matière de diffamation a été centrale. Marine Le Pen a porté plainte suite à des propos du président de SOS Racisme, qualifiant un bal organisé à Vienne de « bal immonde pour nostalgiques du troisième Reich ». En appel, le président a été relaxé, les juges ayant reconnu que ses déclarations, bien que controversées, s’inscrivaient dans un débat d’intérêt général. Ils ont estimé que ses propos reposaient sur des bases factuelles suffisantes, justifiant ainsi l’exercice de la liberté d’expression dans le cadre d’une campagne électorale.
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