LE PARISIEN LIBÉRÉ a été poursuivi pour atteinte à la vie privée suite à la publication d’une enquête sur un brigadier de police en détention provisoire. L’inculpé a contesté la divulgation d’éléments qu’il considérait comme relevant de son intimité, tels que ses surnoms, son lieu de naissance et sa situation familiale. Toutefois, la cour a souligné que la presse peut évoquer des affaires judiciaires, y compris des éléments de la vie privée, si cela est pertinent pour la compréhension de l’affaire. Seule l’indication précise de son domicile a été jugée excessive et non justifiée.
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