Dans le cadre des délits de presse, l’invocation de la bonne foi constitue un fait justificatif essentiel. La Cour d’appel doit impérativement examiner ce moyen, sous peine de voir sa décision annulée par la Cour de cassation. Cette exigence souligne l’importance de la bonne foi dans les affaires de diffamation, garantissant ainsi un équilibre entre la liberté d’expression et la protection de la réputation. La jurisprudence du 21 novembre 2000 illustre cette obligation, rappelant aux juridictions inférieures leur responsabilité dans l’évaluation des éléments de bonne foi dans les litiges liés à la presse.
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