Le licenciement d’un journaliste pour avoir exprimé ses convictions religieuses dans un bulletin confessionnel a été jugé fondé par les tribunaux. Bien que la liberté d’opinion soit garantie, l’expression publique de celle-ci ne doit pas nuire aux intérêts de l’entreprise. Dans ce cas, le journaliste, se présentant comme « chrétien bouddhiste », a créé une confusion entre ses fonctions professionnelles et ses croyances personnelles, compromettant ainsi la ligne éditoriale de son employeur, un journal laïque. La faute grave a été reconnue, justifiant son licenciement pour cause réelle et sérieuse, malgré l’absence de discrimination directe liée à ses convictions.
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