L’ancien président de la LCP a contesté sa convention de rupture négociée avec France Télévisions, arguant d’une inégalité de traitement. Il a souligné que d’autres journalistes avaient bénéficié de suspensions de contrat dans des situations similaires. Toutefois, le tribunal a estimé que l’usage du détachement n’était pas établi de manière constante et générale. France Télévisions a justifié la différence de traitement par sa réorganisation interne et la nature distincte de ses missions par rapport à celles de la LCP. La validité de la rupture conventionnelle a été confirmée, sans vice du consentement du journaliste.
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