Une société ne peut obtenir réparation pour un préjudice moral lié à des insultes et dénigrements d’un concurrent sans prouver la réalité de ce préjudice. Dans une affaire, la juridiction a constaté que les propos échangés entre anciens associés, tenus dans un contexte de tensions privées, n’étaient pas dirigés contre la société et n’avaient pas causé de préjudice. En conséquence, la demande d’indemnisation pour préjudice moral a été rejetée. Cette décision souligne l’importance de la preuve du préjudice pour toute réclamation en matière de réputation.
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