La Cour de cassation a statué que l’utilisation par un cabinet d’avocats d’un dispositif d’affichage prioritaire des Pages jaunes ne viole pas les obligations de discrétion et de dignité imposées à la profession. Cette décision a annulé un arrêt de la Cour d’appel de Bourges, qui considérait que la mise en avant de l’avocat par ce moyen était contraire aux principes de confraternité et de délicatesse. Ainsi, la publicité pour les professions réglementées, comme celle des avocats, peut être encadrée sans compromettre les valeurs fondamentales de la profession.
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