Les comparateurs d’avocats sont légaux, à condition d’assurer une transparence totale sur leurs critères de référencement et de notation. En cas de manquement, ces sites peuvent être condamnés pour publicité trompeuse. La Cour de cassation a précisé que, bien que les avocats doivent éviter toute comparaison dénigrante, les tiers ne sont pas soumis aux mêmes règles déontologiques. Ils doivent simplement fournir une information claire et loyale aux consommateurs. En effet, une pratique commerciale est considérée trompeuse si elle induit en erreur sur les caractéristiques essentielles du service proposé.
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