L’accord préalable du photographe est essentiel pour l’utilisation de ses œuvres à des fins publicitaires. Dans le cas de Willy Rizzo, bien qu’il ait cédé ses droits d’auteur, il a stipulé que toute exploitation publicitaire nécessitait son accord écrit. L’éditeur, en utilisant des photographies de Brigitte Bardot sans cet accord, a été condamné pour contrefaçon. Cette violation a causé un préjudice à Rizzo, qui aurait dû être associé à la négociation, garantissant ainsi la valeur de son œuvre. La campagne publicitaire a déprécié ses photographies, soulignant l’importance de respecter les conditions contractuelles établies.
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