Une publicité comparative est légale si elle compare des biens ou services répondant aux mêmes besoins et objectifs, tout en respectant des critères d’objectivité. Dans le cas de Club Opticlibre contre Alliance Optique, la comparaison des services offerts était justifiée, car les deux répondaient à des besoins similaires. Les différences de coût en cas de sinistre ne remettent pas en cause l’objectivité de la comparaison, puisque les éléments comparés étaient essentiels et vérifiables. De plus, la publicité mentionnait clairement les conditions des offres, assurant ainsi une information suffisante pour les professionnels concernés.
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