Le placement à l’isolement d’un détenu radicalisé a été justifié par ses contacts sur les réseaux sociaux avec un individu préparant un attentat. Utilisant des applications cryptées, il a échangé avec des membres de groupes terroristes en Syrie pour obtenir des conseils sur la fabrication d’explosifs. Le directeur du centre pénitentiaire de Bois-d’Arcy a décidé de cette mesure pour une durée de trois mois, considérant la nécessité de sécurité. Malgré les contestations du détenu, le tribunal a confirmé la légalité de cette décision, soulignant l’absence de doute sérieux sur les motifs de sécurité invoqués.
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