La faillite d’un cybermarchand soulève des enjeux cruciaux pour le consommateur. En cas de liquidation, celui-ci risque de ne pas récupérer ses achats, comme l’illustre le cas d’un acheteur ayant dépensé près de 15 000 euros sur le site « 1855 » sans jamais recevoir sa commande. Bien que la résolution des contrats ait été prononcée, la somme due figure au passif de la liquidation. L’acheteur peut également demander une réparation pour préjudice moral, soulignant l’importance d’une meilleure information des consommateurs face aux risques liés aux achats en ligne.
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