À partir du 1er janvier 2018, tous les commerçants, y compris les restaurateurs, doivent utiliser un logiciel de caisse conforme aux exigences d’inaltérabilité, de sécurisation, de conservation et d’archivage des données, afin de répondre aux contrôles fiscaux. En cas de non-conformité, une amende de 7 500 euros par logiciel peut être appliquée. Cette obligation concerne tous les assujettis à la TVA, qu’ils soient personnes physiques ou morales. Les logiciels doivent garantir l’accès aux données d’origine et permettre des corrections sans altérer les enregistrements initiaux, tout en assurant la sécurisation et l’archivage des données pendant six ans.
Pour accéder à ce contenu juridique premium inscrivez-vous ici.