La responsabilité du salarié en matière de sauvegarde informatique est déterminante. Un ingénieur, accrédité aux niveaux 3 et 4, a été licencié pour avoir manqué à son obligation de confidentialité, exposant ainsi les données de l’employeur à des risques. Bien qu’il ait reconnu son erreur, celle-ci a été jugée suffisamment grave pour justifier son licenciement. La violation des règles de confidentialité, même sans conséquences directes, engage la responsabilité de l’entreprise. La lettre de licenciement doit clairement énoncer les motifs, permettant ainsi de délimiter le litige en cas de contestation.
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