Dans le cadre d’un litige concernant un contrat de prêt, la validité de la signature électronique par SMS a été examinée. La société Credipar a démontré que M. [G] avait été correctement identifié grâce à un code OTP envoyé sur son téléphone, attestant ainsi de la fiabilité de la signature. Le tribunal a conclu que la signature électronique respectait les exigences légales, permettant à Credipar de revendiquer le remboursement de la somme due. En conséquence, le jugement initial a été infirmé, et M. [G] a été condamné à rembourser le capital restant dû, ainsi que des intérêts.
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