L’exploitation non autorisée d’un jeu vidéo multimédia dans des langues étrangères constitue une contrefaçon de l’œuvre, selon la Cour d’appel de Paris. Cette décision souligne l’importance du respect des contrats de cession de droits, qui ne prévoient pas de telles adaptations linguistiques. La jurisprudence rappelle que toute modification ou exploitation en dehors des termes convenus peut engager la responsabilité des auteurs et des producteurs. Ainsi, la protection des œuvres de collaboration et collectives, notamment dans le domaine des jeux vidéo, est essentielle pour préserver les droits des créateurs.
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