La société DREAMNEX a assigné KALIGONA pour contrefaçon, l’accusant d’avoir copié des éléments distinctifs de son site. Le tribunal a constaté que KALIGONA avait reproduit la structure bichromique, les logos circulaires et la présentation des menus de DREAMNEX, créant ainsi un risque de confusion pour les internautes. Cette reprise d’éléments caractéristiques a été jugée suffisante pour établir le délit de contrefaçon. La décision souligne l’importance de la protection des créations numériques et la nécessité de respecter les droits de propriété intellectuelle sur Internet.
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