Le licenciement d’une animatrice de crèche pour atteinte à l’image des enfants a été jugé abusif. En effet, la photographie en question ne permettait pas d’identifier clairement les visages des enfants et avait été partagée uniquement dans un groupe de discussion privé. Ce grief, même s’il était établi, ne justifiait pas une mesure de licenciement. La cour a ainsi confirmé que le licenciement de Mme [W] [N] était sans cause réelle et sérieuse, soulignant l’importance de la protection des droits des salariés dans le cadre de leur travail, notamment en ce qui concerne le droit à l’image.
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