L’Essentiel : La BNP PARIBAS PERSONAL FINANCE a accordé un prêt personnel de 10 000 euros à Monsieur [J] [W] le 29 juin 2021, remboursable en 60 mensualités à un taux nominal de 5,10 % par an. En raison d’un non-paiement, une mise en demeure a été émise le 26 mars 2024, suivie d’une assignation devant le juge des contentieux. Lors de l’audience, la créance totale a été établie à 7 543,18 euros, et Monsieur [J] [W] a été condamné à régler cette somme, ainsi qu’une clause pénale réduite à 50 euros, avec des intérêts au taux légal.
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Constitution du prêtLa BNP PARIBAS PERSONAL FINANCE a accordé un prêt personnel de 10 000 euros à Monsieur [J] [W] le 29 juin 2021, remboursable en 60 mensualités avec un taux nominal de 5,10 % par an. Ce contrat incluait également un crédit de 3 000 euros d’une durée d’un an, dont les conditions variaient selon l’utilisation. Mise en demeure et assignationLe 26 mars 2024, la BNP PARIBAS PERSONAL FINANCE a mis en demeure Monsieur [J] [W] de régler une somme de 1 240 euros dans un délai de 15 jours. Suite à cela, un acte de commissaire de justice a été émis le 17 avril 2024 pour assigner Monsieur [J] [W] devant le juge des contentieux de la protection à Nice, avec une audience prévue pour le 26 septembre 2024. Demande de la BNP PARIBAS PERSONAL FINANCELors de l’audience, la BNP PARIBAS PERSONAL FINANCE a demandé la condamnation de Monsieur [J] [W] à verser 8 047,37 euros, ainsi qu’une somme de 800 euros au titre de l’article 700 du code de procédure civile. Monsieur [J] [W] ne s’étant pas présenté, l’affaire a été mise en délibéré. Recevabilité de l’actionL’action en paiement a été jugée recevable, car la créance n’était pas affectée par la forclusion, conformément aux articles du code de la consommation. Le non-paiement des sommes dues a été établi comme l’événement déclencheur de l’action. Déchéance du termeLa BNP PARIBAS PERSONAL FINANCE a prouvé avoir adressé une mise en demeure à Monsieur [J] [W], ce qui a conduit à la déchéance du terme du contrat de prêt. La défaillance de l’emprunteur a été confirmée par la mise en demeure infructueuse. Créance principale et intérêtsLa créance totale a été établie à 7 543,18 euros, comprenant une créance impayée de 1 240,80 euros et un capital restant dû de 6 302,38 euros. Monsieur [J] [W] a été condamné à régler cette somme avec des intérêts au taux contractuel de 5,10 %. Clause pénaleLa clause pénale du contrat, initialement jugée excessive, a été réduite à 50 euros, que Monsieur [J] [W] devra également payer à la BNP PARIBAS PERSONAL FINANCE, avec des intérêts au taux légal. Demandes accessoires et dépensMonsieur [J] [W], en tant que partie perdante, a été condamné aux dépens. De plus, il a été décidé qu’il devait verser 400 euros à la BNP PARIBAS PERSONAL FINANCE au titre des frais irrépétibles. Exécution provisoireL’exécution provisoire a été déclarée de droit, conformément à l’article 514 du code de procédure civile, en l’absence de dispositions légales contraires. |
Q/R juridiques soulevées :
Sur la recevabilité de l’actionL’article R.312-35 du code de la consommation stipule qu’à peine de forclusion, les actions en paiement engagées devant le tribunal judiciaire à l’occasion de la défaillance de l’emprunteur doivent être formées dans les deux ans de l’événement qui leur a donné naissance. Cet événement est caractérisé par le non-paiement des sommes dues à la suite de la résiliation du contrat ou de son terme ou le premier incident de paiement non régularisé. En l’espèce, il a été vérifié que la créance n’est pas affectée par la forclusion, ce qui rend l’action en paiement recevable. Ainsi, la BNP PARIBAS PERSONAL FINANCE a respecté les délais légaux pour engager son action, et celle-ci est donc recevable. Sur la déchéance du termeL’article 1103 du code civil précise que les conventions légalement formées tiennent lieu de loi à ceux qui les ont faites et doivent être exécutées de bonne foi. De plus, l’article 1225 du code civil indique que la clause résolutoire précise les engagements dont l’inexécution entraînera la résolution du contrat. La mise en demeure est une condition préalable à la déchéance du terme, sauf si le contrat stipule le contraire. En l’espèce, la BNP PARIBAS PERSONAL FINANCE a justifié avoir adressé une mise en demeure à Monsieur [J] [W] par courrier recommandé avec accusé de réception, ce qui a permis de constater l’acquisition de la déchéance du terme. Sur la demande principale en paiementL’article L.312-39 du code de la consommation dispose qu’en cas de défaillance de l’emprunteur, le prêteur peut exiger le remboursement immédiat du capital restant dû, majoré des intérêts échus mais non payés. Les sommes restant dues produisent des intérêts de retard au même taux que celui du prêt. En l’espèce, la BNP PARIBAS PERSONAL FINANCE a prouvé que la créance s’élève à 7543,18 euros, correspondant à une créance impayée de 1240,80 euros et un capital restant dû de 6302,38 euros. Monsieur [J] [W] sera donc condamné à régler cette somme avec intérêts au taux contractuel de 5,10 % à compter de la date de l’assignation. Sur la clause pénaleLa clause pénale dans un contrat de prêt doit être proportionnelle au préjudice subi par le prêteur. En vertu des dispositions applicables, le juge peut réduire une clause pénale manifestement excessive. Dans cette affaire, la clause pénale prévue au contrat a été jugée excessive par rapport au préjudice réel subi par l’organisme prêteur. Ainsi, elle sera réduite à 50 euros, que Monsieur [J] [W] devra payer à la BNP PARIBAS PERSONAL FINANCE avec intérêts au taux légal à compter de la date de l’assignation. Sur les demandes accessoiresL’article 696 du code de procédure civile stipule que la partie perdante est condamnée aux dépens, sauf décision motivée du juge. Étant donné que Monsieur [J] [W] est la partie perdante, il sera condamné aux dépens. Concernant les frais irrépétibles, l’article 700 du code de procédure civile permet au juge de condamner la partie perdante à payer à l’autre partie une somme pour les frais exposés. Dans ce cas, il a été jugé équitable d’allouer 400 euros à la BNP PARIBAS PERSONAL FINANCE, compte tenu du déséquilibre économique entre les parties. Sur l’exécution provisoireConformément à l’article 514 du code de procédure civile, les décisions de première instance sont de droit exécutoires à titre provisoire, sauf disposition contraire. Dans cette affaire, l’exécution provisoire est de droit, compte tenu de la nature du litige et de l’absence de dispositions légales contraires. Cela signifie que les décisions rendues peuvent être exécutées immédiatement, même en cas d’appel. |
TRIBUNAL JUDICIAIRE DE NICE
MINUTE
(Décision Civile)
Service de proximité
S.A. BNP PARIBAS PERSONAL FINANCE c/ [W]
MINUTE N°
DU 21 Novembre 2024
N° RG 24/01977 – N° Portalis DBWR-W-B7I-PVNO
Grosse délivrée
à Me MARIA
Expédition délivrée
à M. [W]
le
DEMANDEUR:
S.A. BNP PARIBAS PERSONAL FINANCE
prise en la personne de son représentant légal en exercice
[Adresse 2]
[Localité 5]
représenté par Maître Philippe MARIA substitué par Me Marie-Sophie FILIPPI, avocat au barreau de GRASSE
DEFENDEUR:
Monsieur [J] [W]
né le [Date naissance 4] 1957 à [Localité 6] (ITALIE)
[Adresse 3]
[Adresse 3]
[Localité 1]
non comparant, ni représenté
COMPOSITION DE LA JURIDICTION:
Lors des débats et qui a délibéré :
Juge des contentieux de la protection : Madame Caroline ATTAL, Vice-Présidente au Tribunal judiciaire de Nice, assistée lors des débats et lors du prononcé par Mme Magali MARTINEZ, Greffier, qui a signé la minute avec la présidente
DEBATS : A l’audience publique du 26 Septembre 2024, l’affaire a été mise en délibéré au 21 Novembre 2024, les parties ayant été avisées que le prononcé de la décision aurait lieu par mise à disposition au greffe
PRONONCE : par jugement réputé contradictoire, en premier ressort, par mise à disposition au greffe le 21 Novembre 2024
Suivant offre préalable acceptée le 29 juin 2021, la BNP PARIBAS PERSONAL FINANCE a consenti à Monsieur [J] [W] un prêt personnel le 29 juin 2021 d’un montant de 10000 euros remboursable en 60 mensualités moyennant un taux nominal conventionnel de 5,10 % l’an, soumis aux dispositions des articles L.311-1 et suivants du code de la consommation dans leur rédaction postérieure à l’entrée en vigueur le 1er mai 2011 de la loi n° 2010-737 du 1er juillet 2010 dite loi Lagarde. Aux termes de ce contrat n°46302319225, celui-ci a bénéficié d’un crédit pour un montant de 3000 euros d’une durée d’un an renouvelable, le taux d’intérêt et les mensualités variant en fonction de l’utilisation effective du crédit.
Par courrier recommandé en date du 26 mars 2024, la BNP PARIBAS PERSONAL FINANCE a mis en demeure Monsieur [J] [W] de s’acquitter de la somme de 1240 euros sous 15 jours.
Par acte de commissaire de justice en date du 17 avril 2024, auquel il y a lieu de se reporter pour l’exposé de ses moyens et l’intégralité de ses prétentions, la BNP PARIBAS PERSONAL FINANCE a fait assigner Monsieur [J] [W] devant le juge des contentieux de la protection du tribunal judiciaire de Nice, à l’audience du 26 septembre 2024.
L’affaire a été retenue et évoquée à cette audience.
La BNP PARIBAS PERSONAL FINANCE , représentée par son conseil, sollicite le bénéfice de son acte introductif d’instance au terme duquelle il est demandé de :
Condamner Monsieur [J] [W] à verser à la BNP PARIBAS PERSONAL FINANCE la somme de 8047,37 euros outre intérêts au taux nominal conventionnel de 5,10% l’an à compter de l’assignationCondamner Monsieur [J] [W] au paiement de la somme de 800 euros sur le fondement des dispositions de l’article 700 du code de procédure civile.
L’assignation ayant conduit à l’établissement d’un procès-verbal de recherches infructueuses, un courrier recommandé a été adressé à Monsieur [J] [W] pour l’aviser de l’audience. Ce dernier n’a pas comparu.
L’affaire a été mise en délibéré au 21 novembre 2024.
Vu les articles 446-1 et 455 du code de procédure civile,
Aux termes de l’article 473 du code de procédure civile, lorsque le défendeur ne comparaît pas, le jugement est rendu par défaut si la décision est en dernier ressort et si la citation n’a pas été délivrée à personne.
En vertu de l’article R.632-1 du code de la consommation, le juge peut relever d’office toutes les dispositions du présent code dans les litiges nés de son application.
Sur la recevabilité de l’action
L’article R.312-35 du code de la consommation dispose qu’à peine de forclusion, les actions en paiement engagées devant le tribunal judiciaire à l’occasion de la défaillance de l’emprunteur doivent être formées dans les deux ans de l’événement qui leur a donné naissance.
Cet événement est caractérisé par le non-paiement des sommes dues à la suite de la résiliation du contrat ou de son terme ou le premier incident de paiement non régularisé.
En l’espèce, il ressort de la vérification des relevés de compte et du dossier fournis en demande que la créance n’est pas affectée par la forclusion.
L’action en paiement est donc recevable.
Sur la déchéance du terme
En vertu de l’article 1103 du code civil, les conventions légalement formées tiennent lieu de loi à ceux qui les ont faites. Elles doivent être exécutées de bonne foi.
Conformément à l’article 1225 du code civil, la clause résolutoire précise les engagements dont l’inexécution entraînera la résolution du contrat.
La résolution est subordonnée à une mise en demeure infructueuse, s’il n’a pas été convenu que celle-ci résulterait du seul fait de l’inexécution. La mise en demeure ne produit effet que si elle mentionne expressément la clause résolutoire.
Si le contrat de prêt peut prévoir que la défaillance de l’emprunteur entraînera la déchéance du terme, celle-ci ne peut, sauf disposition expresse et non équivoque, être déclarée acquise au créancier sans la délivrance d’une mise en demeure restée sans effet, précisant le délai dont dispose le débiteur pour y faire obstacle. Cette règle est d’application générale pour tout prêt de somme d’argent, dont les prêts à la consommation.
En l’espèce, la BNP PARIBAS PERSONAL FINANCE justifie avoir adressé à Monsieur [J] [W] une mise en demeure préalable à la déchéance du terme par courrier recommandé avec accusé de réception.
Il convient donc de constater l’acquisition de la déchéance du terme.
Sur la demande principale en paiement
Sur la créance principale et les intérêts contractuels
Aux termes de l’article 1103 du code civil, les conventions légalement formées tiennent lieu de loi à ceux qui les ont faites.
L’article L.312-39 du code de la consommation dispose qu’en cas de défaillance de l’emprunteur, le prêteur peut exiger le remboursement immédiat du capital restant dû, majoré des intérêts échus mais non payés. Jusqu’à la date du règlement effectif, les sommes restant dues produisent les intérêts de retard à un taux égal à celui du prêt. En outre, le prêteur peut demander à l’emprunteur défaillant une indemnité qui, dépendant de la durée restant à courir du contrat, et sans préjudice de l’application de l’article 1231-5 du code civil, est fixée suivant un barème déterminé par décret.
Aux termes de l’article L. 312-16 du code de la consommation, avant de conclure le contrat de crédit, le prêteur vérifie la solvabilité de l’emprunteur à partir d’un nombre suffisant d’information et doit consulter le fichier national des incidents de remboursement des crédits aux particuliers prévu à l’article L.333-4 du code de la consommation dans les conditions prévues par l’arrêté mentionné à l’article L.333-5.
Il incombe au créancier qui réclame l’exécution d’un contrat d’en établir la régularité au regard des textes d’ordre public sur la consommation, et donc de prouver qu’il a bien procédé à la vérification de la solvabilité en exigeant les pièces justificatives nécessaires.
De simples déclarations non étayées faites par un consommateur ne peuvent, en elles-mêmes, être qualifiées de suffisantes si elles ne sont pas accompagnées de pièces justificatives.
Il résulte en outre de l’article L.341-8 du code de la consommation que le prêteur qui accorde un crédit sans communiquer à l’emprunteur les informations pré-contractuelles dans les conditions fixées par les articles L.311-6 ou L.311-43, sans remettre et faire signer ou valider par voie électronique la fiche mentionnée à l’article L.311-10, ou sans remettre à l’emprunteur un contrat satisfaisant aux conditions fixées par les articles L.311-11, L.311-12, L.311-16, L.311-18, L.311-19, L.311-29, le dernier alinéa de l’article L.311-17 et les articles L.311-43 et L.311-46, est déchu du droit aux intérêts. Lorsque le prêteur n’a pas respecté les obligations fixées aux articles L.311-8 et L.311-9, il est déchu du droit aux intérêts, en totalité ou dans la proportion fixée par la juge.
En l’espèce, il ressort des éléments produits par la BNP PARIBAS PERSONAL FINANCE et notamment de l’offre du prêt, l’historique des paiements et le décompte de la créance, que celle-ci s’élève à la somme de 7543,18 euros correspondant à une créance impayée de 1240,80 euros et un capital restant dû de 6302,38 euros.
Monsieur [J] [W] sera donc condamné à régler la somme de 7543,18 euros en capital avec intérêts au taux contractuel de 5,10% à compter de la date de l’assignation.
Sur la clause pénale.
Tout crédit souscrit auprès d’un organisme prêteur doit être remboursé dans les délais impartis et suivant les conditions prévues dans le contrat. Si l’emprunteur se retrouve dans l’impossibilité d’honorer ses mensualités, l’établissement prêteur est en droit de lui réclamer le versement d’une pénalité évaluée entre 7 et 8 % du capital restant dû. Ceprendant le juge peut réduire cette sanction si elle est manifestement excessive.
En l’espèce la clause pénale prévue au contrat de prêt est manifestement excessive compte tenu du préjudice réellement subi par l’organisme prêteur et du taux pratique, laquelle sera réduite à 50 euros.
Par conséquent, Monsieur [J] [W] sera condamné à payer à la BNP PARIBAS PERSONAL FINANCE la somme de 50 euros au titre de la clause pénale avec intérêts au taux légal à compter du 17 avril 2024, date de l’assignation.
Sur les demandes accessoires
Sur les dépens
L’article 696 du code de procédure civile dispose que la partie perdante est condamnée aux dépens, à moins que le juge, par décision motivée, n’en mette la totalité ou une fraction à la charge d’une autre partie.
Monsieur [J] [W], partie perdante, sera condamné aux dépens.
Sur les frais irrépétiblesIl résulte des dispositions de l’article 700 du code de procédure civile que dans toutes les instances, le juge condamne la partie tenue aux dépens ou, à défaut, la partie perdante, à payer à l’autre partie la somme qu’il détermine, au titre des frais exposés et non compris dans les dépens. Le juge tient compte de l’équité ou de la situation économique de la partie condamnée. Il peut, même d’office, pour des raisons tirées des mêmes considérations, dire qu’il n’y a pas lieu à cette condamnation.
En l’espèce, il serait inéquitable de laisser à la charge de l’organisme de crédit l’intégralité des frais exposés par lui dans la présente instance et non compris dans les dépens. Il convient toutefois de tenir compte du déséquilibre des situations économiques respectives des parties. Aussi la somme de 400 euros sera allouée à la BNP PARIBAS PERSONAL FINANCE au titre de l’article 700 du code de procédure civile due par Monsieur [J] [W] .
Sur l’exécution provisoire
Conformément à l’article 514 du code de procédure civile, les décisions de première instance sont de droit exécutoires à titre provisoire à moins que la loi ou la décision rendue n’en dispose autrement.
En l’espèce, compte tenu de la nature du litige et en l’absence de dispositions légales contraires, l’exécution provisoire est de droit.
Le juge des contentieux de la protection, statuant par jugement réputé contradictoire et en premier ressort, mis à disposition au greffe,
DECLARE l’action recevable ;
CONSTATE l’acquisition de la déchéance du terme du contrat de prêt n°4289474609001 signé en date du 29 juin 2021 entre la BNP PARIBAS PERSONAL FINANCE et Monsieur [J] [W] ;
CONDAMNE Monsieur [J] [W] à payer à la BNP PARIBAS PERSONAL FINANCE la somme de 7543,18 euros en capital avec intérêts au taux contractuel de 5,10 % à compter du 17 avril 2024, date de l’assignation.
CONDAMNE Monsieur [J] [W] à payer à la BNP PARIBAS PERSONAL FINANCE la somme de 50 euros au titre de la clause pénale avec intérêts au taux légal à compter du 17 avril 2024, date de l’assignation.
CONDAMNE Monsieur [J] [W] à régler à la BNP PARIBAS PERSONAL FINANCE la somme de 400 euros au titre des dispositions de l’article 700 du code de procédure civile ;
CONDAMNE Monsieur [J] [W] aux dépens ;
RAPPELLE que l’exécution provisoire est de droit.
LA GREFFIERE LA JUGE
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