Dans l’affaire Wago c/ Miidex, la contrefaçon de droits d’auteur a été écartée. Les connecteurs WAGO, bien que présentant des caractéristiques esthétiques, n’ont pas été jugés originaux au sens du droit d’auteur. Selon le tribunal, l’originalité requiert une empreinte personnelle de l’auteur, ce qui n’est pas le cas ici. En revanche, la concurrence déloyale a été retenue, car Miidex a commercialisé des produits similaires, créant un risque de confusion avec les connecteurs WAGO. Les éléments de preuve ont montré que Miidex avait délibérément profité de la réputation et des investissements de WAGO, établissant ainsi des actes de parasitisme.
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