Les incohérences entre les revenus perçus par un artiste via des sociétés de gestion collective et ceux déclarés à l’administration fiscale peuvent entraîner un contrôle fiscal. Par exemple, un artiste inscrit à la SACEM a reçu près de 110 205 € en 2018, mais n’a pas déclaré ces revenus. En 2019, il a déclaré seulement 38 612 €, bien en deçà des montants perçus. De plus, sa popularité sur YouTube et ses performances en concert laissent présumer des revenus non déclarés, tout comme ses activités de merchandising, qui n’ont pas été mentionnées dans sa déclaration de revenus.
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