Broquante

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Un brocanteur professionnel même propriétaire d’un magasin d’antiquité sur un marché réputé, est en droit d’obtenir la nullité d’une vente pour erreur, lorsqu’il a vendu à un client un objet créée par un artiste célèbre mais qu’il n’avait pas connaissance de cette origine.
Le brocanteur s’est vu restituer son bien aux motifs qu’il avait « cru vendre une table décorative des années 1950, insusceptible d’une attribution particulière ».

Mots clés : Broquante

Thème : Broquante

A propos de cette jurisprudence : juridiction :  Cour de cassation, ch. civ. | Date : 17 juin 2010 | Pays : France

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