Un skateur de haut niveau recruté par un équipementier par contrat d’apprentissage a contesté sans succès la cession de son droit à l’image contre des vêtements.
L’équipementier s’est opposé avec succès à cette demande, son salarié mineur avait signé avec sa mère, en qualité de représentant légal, ladite cession (les intéressés ont dénié en vain leur signature).
En toute hypothèse, il y avait bien eu utilisation par la société de l’image du salarié, souvent à son initiative, en contrepartie du prêt d’équipements et de vêtements. Ainsi, le salarié ne justifiait ni d’un comportement fautif de l’employeur, ni d’un préjudice susceptible de commander l’octroi des dommages-intérêts sollicités.