Concernant la captation de l’image du salarié, l’employeur a tout intérêt à horodater ses images. Un employeur a, sur la base de photographie, licencié son salarié surpris à plusieurs reprises endormi à son poste de travail. Or, aucune des photographies produites ne portait de date fiable. Les juges en ont conclu qu’il n’était pas certain que les photographies produites par la société se rapportaient bien à la nuit des faits fautifs. Télécharger la décision