La condamnation d’un magazine People pour avoir diffusé une « vraie-fausse » nouvelle concernant Charlotte Casiraghi illustre les abus de la presse. En annonçant une séparation avec Gad Elmaleh, le titre racoleur a induit les lecteurs en erreur, laissant croire à une rupture alors que la séparation était due à des obligations professionnelles. Cette affaire soulève des questions sur le respect de la vie privée des personnalités publiques, même celles de la jet-set. La liberté d’expression ne doit pas justifier des insinuations blessantes, et la protection de la vie intime doit primer sur le droit à l’information.
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