Un professeur d’histoire-géographie, déjà fragile mentalement, a tragiquement mis fin à ses jours après avoir découvert qu’une page Facebook avait été créée à son nom par des élèves. Malgré une plainte pour usurpation d’identité et diffamation, le tribunal a jugé que son suicide n’était pas directement causé par les actes des adolescents. Toutefois, la création de ce faux profil a causé un préjudice moral à sa famille, qui a été indemnisée. La souffrance des proches, témoins des angoisses du professeur, a été reconnue, soulignant l’impact dévastateur de l’usurpation d’identité numérique.
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