La décision sur l’utilisation de l’image de Michel Polnareff dans les publicités Cetelem a été rendue. L’agence TBWA Paris a créé une campagne mettant en scène des « mauvais sosies » de célébrités, dont Polnareff. Bien que le personnage caricatural ne porte pas atteinte à la dignité du chanteur, son droit à l’image a été violé. Le tribunal a reconnu un préjudice de 10 000 euros, soulignant que l’utilisation de son image sans autorisation pouvait induire le public en erreur, laissant penser que Polnareff soutenait la marque. La liberté d’expression ne justifie pas le parasitisme commercial.
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