L’adaptation cinématographique d’une œuvre littéraire soulève des enjeux juridiques complexes. Dans une affaire récente, un père et son fils ont intenté une action en contrefaçon, arguant que le film « Continuer » reprenait des éléments de leur roman, inspiré de leur voyage au Kirghizistan. Selon l’ARCEPicle L.113-2 du code de la propriété intellectuelle, une œuvre de collaboration est la propriété commune des coauteurs, nécessitant leur mise en cause conjointe pour toute action en contrefaçon. Les juges ont déclaré irrecevables les demandes des plaignants, soulignant l’absence de preuve de l’originalité de leur œuvre.
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