Un galeriste a tenté de revendiquer la copropriété d’une œuvre d’art, une lampe contemporaine, qu’il prétendait avoir conçue avec l’artiste Ionna Vautrin. Cependant, l’œuvre était divulguée sous le nom de l’artiste, ce qui impliquait une présomption de titularité des droits en sa faveur. La galerie, bien que mentionnée dans divers documents, n’a pas prouvé qu’elle avait donné des directives esthétiques à l’artiste ni que l’œuvre était collective. En conséquence, le galeriste a été condamné pour procédure abusive, ayant engagé une action sans fondement solide, entraînant des dommages et intérêts de 1500 euros.
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