risque de confusion

  • Risque de confusion : Questions / Réponses juridiques

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    Dans l’affaire jugée par la Cour d’appel de Paris, le délit de contrefaçon n’a pas été retenu concernant les marques « Adnsoft » et « Adesoft ». Bien que la substitution de la consonne « n » par la voyelle « e » soit visuellement marquée, la distinction phonétique entre les deux marques est significative. Le terme « soft », largement utilisé dans le domaine…

  • Risque de confusion en matière de marques : Questions / Réponses juridiques

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    La société POST’UP INTERNATIONAL a assigné en contrefaçon de marque les sociétés LOGIS MARKET, MECALUX FRANCE, et PRISMA ENTERPRISES pour l’utilisation des marques logismarket et logimarket. Les juges ont constaté un risque de confusion, considérant que les services offerts par les défenderesses, liés au stockage et au transport, sont similaires à ceux de la marque…

  • Risque de confusion : enjeux et implications pour les marques – Questions / Réponses juridiques

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    La société LABORATOIRES ARAQUELLE INTERNATIONAL (LAI) a intenté une action en contrefaçon contre Nestlé et AQUAREL FRANCE concernant l’utilisation du terme « AQUAREL » pour des eaux de source. En première instance, les juges ont estimé qu’il n’y avait pas de risque de confusion entre les activités des sociétés, qui opèrent dans des domaines distincts. Cependant, la…

  • Contrefaçon : Questions / Réponses juridiques

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    La société MONTEX, spécialisée dans la vente de vêtements, a été condamnée pour contrefaçon après avoir utilisé un dessin proposé par AQUAPRINT, qui s’est avéré être une reproduction illégale d’une œuvre de la société GASPAR. La Cour a souligné la responsabilité solidaire de MONTEX, qui n’a pas respecté son obligation de diligence en tant que…

  • Contrefaçon de Titres : Le Cas du ‘MEUF SHOW’ – Questions / Réponses juridiques

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    Franck MAILLOL, auteur de « LE MEUF SHOW », a contesté l’utilisation du titre « ONE MEUF SHOW » par l’Agence BJP. Bien que les juges n’aient pas retenu la contrefaçon en raison de l’absence d’originalité du titre, ils ont interdit l’utilisation de « ONE MEUF SHOW » en raison du risque de confusion. Les deux spectacles, appartenant au même genre…

  • Contrefaçon de titre : Questions / Réponses juridiques

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    La société PUBLICATIONS DU JOUR a été reconnue coupable de contrefaçon de titre pour avoir publié des ouvrages aux titres identiques à ceux de PIERRE HORAY EDITEUR. Les livres « J’ATTENDS UN ENFANT » et « J’ELEVE MON ENFANT » ont été jugés susceptibles de créer une confusion, notamment en raison de leur présentation similaire et de leur mise…

  • Noms de domaine : enjeux et protections – Questions / Réponses juridiques

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    Dans l’affaire opposant la société DOLLFUS à DMC FRANCE LIMITED, la première contestait l’utilisation des noms de domaine « dmcworld.com » et « dmc-france.fr ». DOLLFUS, titulaire des noms « dmc.com » et « dmc.fr », invoquait une atteinte à ses droits, mais la Cour d’appel de Paris a rejeté sa demande. Les juges ont…

  • Contrefaçon de Marque : Questions / Réponses juridiques

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    La Cour d’appel de Paris a statué en faveur de NRJ Group, jugeant que la société NRJ Transport avait contrefait ses marques. Bien que les marques ne soient pas identiques, le sigle NRJ, élément central, est suffisamment distinctif pour créer un risque de confusion. Les différences entre les marques sont jugées insignifiantes pour un consommateur…

  • Risque de confusion : Questions / Réponses juridiques

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    L’appréciation du risque de confusion entre deux flacons de parfum repose sur la distinctivité de la marque et la similitude des produits. Dans cette affaire, les flacons en question reproduisaient les caractéristiques essentielles des marques tridimensionnelles, notamment un buste d’homme musclé. Cette similitude pouvait induire le consommateur en erreur quant à l’origine du produit. Les…

  • Contrefaçon de Modèle : Questions / Réponses juridiques

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    La société JOHANNA GULLICHSEN a fait appel d’un jugement qui avait rejeté son action en contrefaçon de modèle de tissu contre COMME DES GARÇONS. Les juges avaient déclaré l’action irrecevable, invoquant la Convention de Berne. Cependant, en appel, la cour a censuré ce jugement, reconnaissant la recevabilité de l’action. La loi finlandaise, qui considère comme…

  • Contrefaçon : Questions / Réponses juridiques

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    La société SOLUNE a poursuivi M.G. pour contrefaçon de l’un de ses modèles de sac, reconnu pour son originalité. Les juges ont constaté que les différences mineures entre les deux modèles n’étaient pas suffisantes pour écarter la contrefaçon, car l’impression d’ensemble demeurait identique, créant un risque de confusion pour le consommateur. Le sac original, exposé…

  • Risque de confusion : Questions / Réponses juridiques

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    La société Domaine Clarence Dillon SA a opposé le dépôt de la marque « Domaine de la Passion Haut Brion » par l’EARL Allary, invoquant un risque de confusion avec sa marque « Château Haut Brion ». Les juges ont examiné la similitude visuelle, phonétique et conceptuelle des marques, en tenant compte de l’impression d’ensemble. Ils ont noté que…

  • Risque de confusion entre marques : Questions / Réponses juridiques

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    La SARL OKDAK a vu sa demande d’enregistrement de marque rejetée par l’INPI, en raison de l’opposition de la SA KODAK, détentrice de la marque antérieure. La Cour d’appel d’Aix-en-Provence a confirmé qu’il existait un risque de confusion entre « OKDAK » et « KODAK », notamment pour le consommateur moyen. Malgré les arguments de la SARL OKDAK, qui…

  • Risque de confusion : Questions / Réponses juridiques

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    La Cour d’appel d’Aix-en-Provence a confirmé le refus d’enregistrement de la marque « POWER BLAST » pour des produits diététiques, en raison de l’opposition de la Société NESTLE, détentrice de la marque « POWERBAR ». Les ressemblances visuelles et phonétiques entre les deux marques sont notables, créant un risque de confusion pour le consommateur. Ce dernier, familier avec « POWERBAR »,…

  • Risque de confusion dans le droit des marques – Questions / Réponses juridiques

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    Dans l’affaire Guerlain contre un particulier, la Cour d’appel d’Aix a jugé qu’il existait un risque de confusion entre les marques « L’INSOLENT » et « INSOLENCE ». Les juges ont annulé la seconde marque, estimant qu’un consommateur de vigilance moyenne, sans accès simultané aux deux signes, pourrait confondre les deux. Les similitudes phonétiques et visuelles étaient jugées trop…

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    Cour d’appel de Paris, 17 janvier 2025, RG n° 23/14600

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    Contexte de l’affaire La société Alliance Logistics, active dans le domaine du transport depuis 1997, a déposé une demande d’enregistrement pour la marque ALLIANCE LOGISTICS en juillet 2022. Cette demande couvre une large gamme de produits et services liés à la logistique, au transport et à la gestion de données. Opposition de Transalliance La société…

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    Tribunal judiciaire de Marseille, 26 septembre 2024, RG n° 22/01609

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    La société SNC GEO, spécialisée dans la vente de crèmes glacées, a été fondée en 1946 et est gérée par monsieur [B] [T]. En 2020, madame [I] [T] a déposé deux marques verbales, « J.O 1946 » et « GEO 1946 », et a créé la SAS NOU, exerçant une activité similaire à celle de…

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    Tribunal judiciaire de Marseille, 26 septembre 2024, RG n° 20/01796

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    La société CHAPTER 4 CORP., exploitant la marque « SUPREME », a engagé des poursuites contre les sociétés MAISON CLOTHES et BERLIN PREMIUM pour contrefaçon de ses marques et concurrence déloyale. CHAPTER 4 a découvert que MAISON CLOTHES commercialisait des produits portant la marque « SUPREME » sans autorisation. Après une saisie-contrefaçon, CHAPTER 4 a…

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    Tribunal judiciaire de Marseille, 26 septembre 2024, RG n° 20/01796

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    La société CHAPTER 4 CORP., exploitant la marque « SUPREME », a engagé des poursuites contre les sociétés MAISON CLOTHES et BERLIN PREMIUM pour contrefaçon de ses marques et concurrence déloyale. CHAPTER 4 a découvert que MAISON CLOTHES commercialisait des produits portant la marque « SUPREME » sans autorisation. Après une saisie-contrefaçon, CHAPTER 4 a…

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    Tribunal judiciaire de Marseille, 26 septembre 2024, RG n° 20/01796

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    La société CHAPTER 4 CORP., exploitant la marque « SUPREME », a engagé des poursuites contre les sociétés MAISON CLOTHES et BERLIN PREMIUM pour contrefaçon de ses marques et concurrence déloyale. CHAPTER 4 a découvert que MAISON CLOTHES commercialisait des produits portant la marque « SUPREME » sans autorisation. Après une saisie-contrefaçon, CHAPTER 4 a…

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