·
M. [C] [H] a été embauché en tant que ‘crêpier équipier’ en 2008, évoluant vers un contrat à durée indéterminée après la cession de l’établissement en 2017. Suite à son absence non justifiée depuis septembre 2017, il a été licencié pour faute grave. Contestant ce licenciement, M. [H] a saisi le conseil de prud’hommes, qui…
·
L’affaire de M. [O] contre la RATP illustre le délicat équilibre entre le droit de grève et les sanctions disciplinaires. Engagé en 1987, M. [O] a été sanctionné à plusieurs reprises pour avoir rejoint des mouvements de grève après le début de son service, en violation de l’instruction générale (IG) 542. Malgré ses arguments de…
·
Dans le cadre d’un contrat de professionnalisation, M. [N] a contesté la rupture anticipée de son contrat pour faute grave, arguant que la lettre de licenciement manquait de motivation. L’employeur a présenté des témoignages attestant d’un comportement irrespectueux et d’une utilisation abusive de l’outil informatique à des fins personnelles. Selon le code du travail, un…
·
M. [B], engagé à la RATP depuis 1986, a été sanctionné pour non-respect de l’IG 542 lors de mouvements de grève en 2017. Après avoir contesté ces sanctions devant le conseil de prud’hommes, il a été débouté. En appel, il a soutenu que l’IG 542 ne s’appliquait pas à lui, arguant d’un usage permettant aux…
·
Dans l’affaire opposant Mme [C] à la société Samat gestion, la salariée a démissionné le 7 novembre 2018, mais a contesté cette décision en janvier 2019, demandant la requalification de sa démission en licenciement sans cause réelle et sérieuse. Le conseil de prud’hommes a jugé que la démission était claire et non équivoque, déboutant Mme…
·
Dans le cadre de la liquidation judiciaire de la société Excel Bâtiment, M. [F] [N] a été licencié pour motif économique. Le conseil de prud’hommes a reconnu son statut de salarié et validé son licenciement, fixant sa créance au passif de la liquidation. L’AGS CGEA a contesté cette reconnaissance, arguant que M. [F] [N] n’était…
·
La cour d’appel de Paris a confirmé la résiliation judiciaire du contrat de travail de Monsieur [R] aux torts exclusifs de l’employeur, la société Sgh. Ce dernier avait contesté son licenciement, arguant que l’employeur ne l’avait pas mis en demeure de reprendre son poste. La cour a constaté que l’employeur avait manqué à ses obligations…
·
Le 7 janvier 2014, M. [S], chauffeur poids lourds, a été victime d’un accident du travail causé par un gerbeur électrique de la société DSC, entraînant des blessures graves. Le tribunal judiciaire de Grenoble a condamné DSC à verser 125 303,87 euros à M. [S] pour son préjudice corporel. Suite à des rectifications, ce montant…
·
La rupture de contrat de M. [F] [B] avec la société ENF soulève des enjeux cruciaux liés à l’inaptitude professionnelle et à l’obligation de reclassement. Après avoir été déclaré inapte par le médecin du travail, M. [B] a contesté son licenciement, arguant que l’employeur n’avait pas respecté son obligation de sécurité. La cour a confirmé…
·
Monsieur [S] [V], gardien d’immeuble, a été licencié le 17 octobre 2019 par la société HLM Les Résidences Yvelines Essonne suite à une altercation impliquant des pompiers et des policiers lors d’une intervention pour une inondation. L’employeur a reproché à Monsieur [V] d’avoir failli à ses obligations professionnelles en participant à cette altercation. Contestant son…
·
La cour a confirmé la nullité du contrat de travail de Monsieur [R] en raison de manœuvres dolosives. En effet, il a fourni des informations erronées, notamment une fausse carte d’identité et un numéro de sécurité sociale incorrect, ce qui a vicié le consentement de l’employeur, la société Ajm. Malgré les arguments de Monsieur [R]…
·
La cour a statué sur la demande de requalification du contrat à durée déterminée de Monsieur [D], concluant à son irrecevabilité en raison de la prescription. En effet, l’action, fondée sur l’absence de mention de la qualification du salarié remplacé, devait être introduite dans un délai de deux ans, ce qui n’a pas été respecté.…
·
M. [V] a demandé la jonction de deux procédures d’appel, visant à confirmer un jugement du conseil de prud’hommes de Nantes. Ce jugement a condamné la SAS Vives Eaux à lui verser des sommes pour rappel de salaire, congés payés, ainsi qu’une indemnité pour heures supplémentaires non réglées. La cour a reconnu que M. [V]…
·
L’accident du travail de M. [S] a conduit à une décision judiciaire complexe. Le tribunal de Grenoble a initialement condamné la société DSC à verser 125 303,87 euros pour le préjudice corporel de M. [S], mais une rectification a réduit ce montant à 107 388,06 euros. En appel, la société DSC a demandé l’arrêt de…
·
Monsieur [Z] a été engagé par la société Abc Star Net en tant qu’agent de propreté, son contrat évoluant vers un CDI. Licencié pour faute grave en août 2018, il conteste cette décision, arguant d’un licenciement discriminatoire lié à son état de santé et d’un manque de procédure régulière. Le conseil de prud’hommes a partiellement…
·
La cour de cassation a statué qu’une erreur de dénomination d’une personne morale, lorsqu’elle est désignée par son nom commercial, constitue un vice de forme régularisable et non un vice de fond. Dans le cas de M. [U], bien que la requête initiale mentionnât « Intermarché » au lieu de « Degavern », les informations fournies, telles que le…
·
La main courante ne suffit pas à établir l’existence d’un harcèlement moral. Dans le cas de Monsieur [G] [K], embauché par la SAS Brico Dépôt, son licenciement pour faute grave a été contesté. Le conseil de prud’hommes a requalifié ce licenciement en licenciement sans cause réelle et sérieuse, condamnant l’employeur à verser plusieurs indemnités. Bien…
·
Madame [G] a été licenciée par la société EPIGO pour faute grave, invoquant des absences injustifiées. Contestant ce licenciement, elle a saisi le conseil de prud’hommes, qui a jugé le licenciement sans cause réelle et sérieuse. La cour a confirmé cette décision, soulignant que les absences de Madame [G] étaient justifiées par des arrêts de…
·
Le licenciement pour faute lourde de M. [T] par Air France a été jugé justifié par le conseil de prud’hommes de Bobigny. Après une mise à pied conservatoire, M. [T] a été convoqué à un entretien préalable avant son licenciement. Malgré ses contestations, la cour a confirmé que les procédures internes avaient été respectées. Les…
·
Dans le cadre d’un contrat de forfait annuel en heures, Mme [Y] a contesté le non-paiement de ses heures supplémentaires auprès de KPMG ESC & GS. Après avoir démissionné, elle a saisi le conseil de prud’hommes, qui a partiellement reconnu ses droits en lui accordant une somme pour les heures non rémunérées. KPMG a fait…