Cour d’appel

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    Cour d’appel de Paris, 23 octobre 2024, RG n° 22/02797

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    Le licenciement de Mme [R] par la société Pantimmo a été jugé justifié pour faute grave. Convoquée à un entretien préalable le 22 janvier 2020, elle a été licenciée le 6 février pour détournement de clientèle et insubordination. Mme [R] a contesté cette décision devant le conseil de prud’hommes, qui a confirmé la légitimité du…

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    Cour d’appel de Paris, 23 octobre 2024, RG n° 21/07453

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    Monsieur [I] [D] [G], employé par Nov’Abyss, a été licencié pour faute grave le 5 octobre 2018, suite à une altercation avec son frère, gérant de l’entreprise. Contestant son licenciement, il a saisi le Conseil des prud’hommes, demandant des indemnités et la résiliation de son contrat avec Nov’Achev, société co-dirigée avec son frère. Le jugement…

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    Cour d’appel de Paris, 23 octobre 2024, RG n° 22/02605

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    Le solde de tout compte, établi par l’employeur, fait l’inventaire des sommes versées au salarié lors de la rupture du contrat de travail. Selon l’article L.1234-20 du code du travail, ce reçu peut être contesté dans les six mois suivant sa signature, après quoi il devient libératoire pour l’employeur. Dans l’affaire de Madame [K] [T],…

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    Cour d’appel de Paris, 23 octobre 2024, RG n° 21/10452

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    M. [Z], engagé par la RATP en 2007, a été sanctionné à plusieurs reprises pour non-respect de l’instruction générale 542 sur la grève. Après avoir contesté ces sanctions devant le conseil de prud’hommes, il a été débouté. En appel, il a demandé l’annulation des sanctions et des dommages-intérêts. La cour a confirmé la légitimité des…

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    Cour d’appel de Metz, 23 octobre 2024, RG n° 22/01569

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    Dans l’affaire opposant Mme [Y] [N] à la SARL Etablissements Gabriel Jeannot, la cour a confirmé le jugement du conseil de prud’hommes, condamnant l’employeur à verser des sommes pour heures supplémentaires et indemnités. Mme [N] a prouvé l’existence d’heures supplémentaires par des courriels et des témoignages, tandis que la société a contesté la prescription de…

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    Cour d’appel de Paris, 23 octobre 2024, RG n° 21/10453

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    L’affaire de M. [P] à la RATP illustre le délicat équilibre entre le droit de grève et les sanctions disciplinaires. Engagé en 1992, M. [P] a été sanctionné à plusieurs reprises pour avoir rejoint des mouvements de grève après le début de son service, en violation de l’instruction générale (IG) 542. Malgré ses arguments sur…

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    Cour d’appel d’Amiens, 23 octobre 2024, n° RG 24/00203

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    En cas d’inaptitude liée à un accident du travail, le salarié bénéficie de droits spécifiques. Si l’inaptitude est causée par un manquement de l’employeur à ses obligations de sécurité, le licenciement peut être jugé sans cause réelle et sérieuse. Dans l’affaire de M. [P], la cour a reconnu la faute inexcusable de l’employeur, entraînant l’annulation…

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    Cour d’appel d’Amiens, 23 octobre 2024, RG n° 23/04663

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    Mme [D] a été licenciée pour faute grave en raison d’une soustraction frauduleuse de marchandises, ayant été trouvée en possession de produits d’une valeur de 94,71 euros sans preuve d’achat. L’employeur a soutenu que son comportement violait les règles internes et justifiait le licenciement. Cependant, Mme [D] a contesté ces accusations, affirmant qu’il s’agissait d’un…

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    Cour d’appel de Paris, 23 octobre 2024, n° RG 21/10442

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    M. [C] [H] a été embauché en tant que ‘crêpier équipier’ en 2008, évoluant vers un contrat à durée indéterminée après la cession de l’établissement en 2017. Suite à son absence non justifiée depuis septembre 2017, il a été licencié pour faute grave. Contestant ce licenciement, M. [H] a saisi le conseil de prud’hommes, qui…

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    Cour d’appel de Paris, 23 octobre 2024, RG n° 21/10446

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    L’affaire de M. [O] contre la RATP illustre le délicat équilibre entre le droit de grève et les sanctions disciplinaires. Engagé en 1987, M. [O] a été sanctionné à plusieurs reprises pour avoir rejoint des mouvements de grève après le début de son service, en violation de l’instruction générale (IG) 542. Malgré ses arguments de…

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    Cour d’appel d’Amiens, 23 octobre 2024, RG n° 23/04475

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    Dans le cadre d’un contrat de professionnalisation, M. [N] a contesté la rupture anticipée de son contrat pour faute grave, arguant que la lettre de licenciement manquait de motivation. L’employeur a présenté des témoignages attestant d’un comportement irrespectueux et d’une utilisation abusive de l’outil informatique à des fins personnelles. Selon le code du travail, un…

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    Cour d’appel de Paris, 23 octobre 2024, n° RG 21/10434

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    M. [B], engagé à la RATP depuis 1986, a été sanctionné pour non-respect de l’IG 542 lors de mouvements de grève en 2017. Après avoir contesté ces sanctions devant le conseil de prud’hommes, il a été débouté. En appel, il a soutenu que l’IG 542 ne s’appliquait pas à lui, arguant d’un usage permettant aux…

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    Cour d’appel de Lyon, 23 octobre 2024, RG n° 21/05295

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    Dans l’affaire opposant Mme [C] à la société Samat gestion, la salariée a démissionné le 7 novembre 2018, mais a contesté cette décision en janvier 2019, demandant la requalification de sa démission en licenciement sans cause réelle et sérieuse. Le conseil de prud’hommes a jugé que la démission était claire et non équivoque, déboutant Mme…

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    Cour d’appel de Lyon, 23 octobre 2024, RG n° 21/05206

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    Dans le cadre de la liquidation judiciaire de la société Excel Bâtiment, M. [F] [N] a été licencié pour motif économique. Le conseil de prud’hommes a reconnu son statut de salarié et validé son licenciement, fixant sa créance au passif de la liquidation. L’AGS CGEA a contesté cette reconnaissance, arguant que M. [F] [N] n’était…

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    Cour d’appel de Paris, 23 octobre 2024, RG n° 21/09002

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    La cour d’appel de Paris a confirmé la résiliation judiciaire du contrat de travail de Monsieur [R] aux torts exclusifs de l’employeur, la société Sgh. Ce dernier avait contesté son licenciement, arguant que l’employeur ne l’avait pas mis en demeure de reprendre son poste. La cour a constaté que l’employeur avait manqué à ses obligations…

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    Cour d’appel de Grenoble, 23 octobre 2024, RG n° 24/00102

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    Le 7 janvier 2014, M. [S], chauffeur poids lourds, a été victime d’un accident du travail causé par un gerbeur électrique de la société DSC, entraînant des blessures graves. Le tribunal judiciaire de Grenoble a condamné DSC à verser 125 303,87 euros à M. [S] pour son préjudice corporel. Suite à des rectifications, ce montant…

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    Cour d’appel de Lyon, 23 octobre 2024, n° RG 21/05165

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    La rupture de contrat de M. [F] [B] avec la société ENF soulève des enjeux cruciaux liés à l’inaptitude professionnelle et à l’obligation de reclassement. Après avoir été déclaré inapte par le médecin du travail, M. [B] a contesté son licenciement, arguant que l’employeur n’avait pas respecté son obligation de sécurité. La cour a confirmé…

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    Cour d’appel de Paris, 23 octobre 2024, n° RG 21/08660

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    Monsieur [S] [V], gardien d’immeuble, a été licencié le 17 octobre 2019 par la société HLM Les Résidences Yvelines Essonne suite à une altercation impliquant des pompiers et des policiers lors d’une intervention pour une inondation. L’employeur a reproché à Monsieur [V] d’avoir failli à ses obligations professionnelles en participant à cette altercation. Contestant son…

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    Cour d’appel de Paris, 23 octobre 2024, n° RG 21/09489

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    La cour a confirmé la nullité du contrat de travail de Monsieur [R] en raison de manœuvres dolosives. En effet, il a fourni des informations erronées, notamment une fausse carte d’identité et un numéro de sécurité sociale incorrect, ce qui a vicié le consentement de l’employeur, la société Ajm. Malgré les arguments de Monsieur [R]…

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    Cour d’appel de Paris, 23 octobre 2024, RG n° 22/02892

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    La cour a statué sur la demande de requalification du contrat à durée déterminée de Monsieur [D], concluant à son irrecevabilité en raison de la prescription. En effet, l’action, fondée sur l’absence de mention de la qualification du salarié remplacé, devait être introduite dans un délai de deux ans, ce qui n’a pas été respecté.…

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