Cour d’appel

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    Cour d’appel de Versailles, 7 novembre 2024, n° RG 23/00450

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    L’affaire de M. [E] [D] contre la société Les Courriers de Seine et Oise soulève des enjeux cruciaux concernant les sanctions disciplinaires et les droits des représentants du personnel. M. [D], membre du comité social et économique, a contesté plusieurs sanctions, dont une mise à pied et un avertissement, qu’il jugeait injustifiés. La cour a…

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    Cour d’appel de Versailles, 7 novembre 2024, n° RG 23/00572

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    Le licenciement pour inaptitude soulève des enjeux cruciaux liés à la reconnaissance du handicap et aux obligations de l’employeur. Dans le cas de M. [C] [E], engagé par Synerlink, son inaptitude, déclarée suite à un accident du travail, a conduit à son licenciement. Malgré la contestation de ce licenciement par ses ayants-droit, la cour a…

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    Cour d’appel de Versailles, 7 novembre 2024, n° RG 23/00601

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    M. [T] [Z] a été engagé par la société [U] [N] et a subi des avertissements et une mise à pied avant de démissionner. Il a demandé la requalification de sa démission en prise d’acte, invoquant un harcèlement moral. Le tribunal a reconnu la rupture comme un licenciement nul, condamnant l’employeur à verser des indemnités…

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    Cour d’appel de Versailles, 7 novembre 2024, n° RG 22/03014

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    Le licenciement de Mme [I] [M] pour faute grave a été prononcé en raison de son comportement jugé irresponsable durant la crise sanitaire. Le 28 mars 2020, alors qu’elle présentait des symptômes évocateurs du Covid-19, elle s’est rendue à son poste, mettant ainsi en danger les résidents vulnérables de la résidence médicalisée. Malgré les conseils…

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    Cour d’appel de Poitiers, 7 novembre 2024, RG n° 21/02919

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    L’accident de travail survenu le 24 avril 2012 a gravement affecté M. [R], chef de projet, entraînant des blessures multiples et une incapacité totale de travail de 60 jours. Reconnu comme un accident du travail, il a engagé une procédure judiciaire pour établir la faute inexcusable de son employeur. Le tribunal a confirmé cette faute…

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    Cour d’appel de Versailles, 7 novembre 2024, n° RG 22/02756

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    Le licenciement de Mme [J] [X] par la SAS Axiom Graphic, pour motif économique, a soulevé des questions sur la cause réelle et sérieuse ainsi que sur les obligations de reclassement. Convoquée à un entretien préalable, elle a accepté un contrat de sécurisation professionnelle. Cependant, elle a contesté la légitimité de son licenciement, arguant que…

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    Cour d’appel de Versailles, 7 novembre 2024, n° RG 22/02842

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    Le harcèlement moral au travail peut se manifester par des SMS déplacés, comme l’illustre le cas d’un salarié ayant reçu des messages à connotation sexuelle de son responsable. Ces messages, tels que « va te coucher et laisse tomber les gonzesses », ont été jugés constitutifs de harcèlement moral. L’employeur a tenté de minimiser ces actes en…

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    Cour d’appel de Versailles, 7 novembre 2024, n° RG 22/02754

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    Le licenciement économique de M.[H] [N] par la S.A.S Axiom Graphic a été contesté pour non-respect de la procédure de licenciement collectif et manquement à l’obligation de reclassement. La cour a confirmé que le licenciement était fondé sur des motifs économiques, mais a infirmé le jugement initial en raison de l’absence de consultation des représentants…

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    Cour d’appel de Versailles, 7 novembre 2024, n° RG 22/03018

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    La communication non autorisée des codes sources stratégiques de l’entreprise par un salarié constitue une faute grave justifiant son licenciement. Dans cette affaire, M. [W] a transmis des informations sensibles à des tiers, mettant en péril la société Datanéo. Malgré ses contestations, le tribunal a confirmé que ces actes violaient ses obligations contractuelles. La cour…

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    Cour d’appel de Versailles, 7 novembre 2024, n° RG 20/02346

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    Dans le cadre de la liquidation judiciaire de la société Groupe AVNS, le lien de subordination de Mme [W] [F] a été remis en question. Bien qu’elle ait été engagée comme responsable juridique, des éléments ont révélé la fictivité de son contrat de travail. Les enquêtes ont mis en lumière des malversations financières et une…

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    Cour d’appel de Versailles, 7 novembre 2024, n° RG 23/00561

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    Le Conseil de prud’hommes a statué sur le cas de Mme [C], engagée par PRISMA MEDIA, qui a demandé la résiliation judiciaire de son contrat de travail. Le jugement initial a débouté Mme [C] de ses demandes, mais en appel, la cour a reconnu l’existence d’un contrat à durée indéterminée. Elle a prononcé la résiliation…

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    Cour d’appel de Paris, 6 novembre 2024, RG n° 22/00101

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    M. [J] a dénoncé des actes de harcèlement moral de la part de son manager, incluant des remarques déplacées et des accusations de harcèlement sexuel. Malgré ses alertes auprès des instances internes, la situation s’est détériorée, culminant en son licenciement pour faute grave. En appel, il a contesté cette décision, arguant que son licenciement était…

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    Cour d’appel de Paris, 6 novembre 2024, RG n° 22/00128

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    L’affaire concerne le transfert de contrat de travail de Mme [D] de Schiever Distribution à Anciens Ets G. Schiever et fils. Après avoir été licenciée pour faute grave, Mme [D] conteste son licenciement, arguant que son contrat avec Schiever Distribution n’avait pas été rompu. La cour d’appel a confirmé l’irrecevabilité de ses demandes, soulignant qu’elle…

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    Cour d’appel de Paris, 6 novembre 2024, RG n° 22/02848

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    En période de crise sanitaire, le licenciement de Mme [W] a été contesté pour absence de cause réelle et sérieuse. Bien que l’employeur ait invoqué des manquements aux règles d’hygiène et de sécurité, la cour a noté que les accusations reposaient principalement sur des témoignages isolés. Les éléments de preuve fournis n’ont pas permis d’établir…

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    Cour d’appel de Paris, 6 novembre 2024, RG n° 21/09157

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    Le cas de M. [E] [H], cuisinier chez SASU Joti, illustre les enjeux des heures supplémentaires dans la restauration rapide. Engagé en janvier 2019, il conteste sa rémunération, affirmant qu’elle s’élève à 2 184,13 euros, contre 1 784,22 euros selon l’employeur. Après un licenciement pour faute grave en juin 2020, M. [H] saisit le conseil…

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    Cour d’appel de Paris, 6 novembre 2024, RG n° 21/01701

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    Dans l’affaire opposant M. [K] [U] aux sociétés Victor Hugo By Hure et Pierre et Fils, M. [U] a revendiqué des heures supplémentaires non rémunérées entre 2016 et 2019. Après un transfert de contrat de travail, il a saisi le conseil de prud’hommes, qui a rejeté ses demandes. En appel, M. [U] a présenté des…

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    Cour d’appel de Paris, 6 novembre 2024, RG n° 22/01870

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    Les règles protectrices pour les victimes de maladies professionnelles ou d’accidents du travail stipulent que l’inaptitude d’un salarié doit être reconnue comme d’origine professionnelle si elle est liée à un événement survenu dans le cadre de son travail. Dans le cas de M. [G], bien qu’il ait subi une agression, la cour a jugé qu’il…

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    Cour d’appel de Rennes, 6 novembre 2024, n° RG 23/00329

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    L’accident du travail survenu le 2 janvier 2020 a conduit M. [R] à une évaluation de son incapacité permanente partielle (IPP). Initialement fixé à 5 %, ce taux a été contesté par M. [R], qui a fait appel. Après une expertise médicale, le tribunal a révisé le taux à 8 %. Cependant, M. [R] a…

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    Cour d’appel de Paris, 6 novembre 2024, RG n° 21/09040

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    Le 26 juillet 2019, Mme [B] a été mise à pied pour avoir exercé son droit de retrait après l’agression d’un collègue. Elle a quitté son service sans autorisation, invoquant un danger imminent, alors que la situation avait été sécurisée. La SASU Keolis Seine Sénart conteste cette décision, arguant que Mme [B] n’a pas informé…

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    Cour d’appel de Rennes, 6 novembre 2024, RG n° 22/01676

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    L’évaluation de l’incapacité permanente partielle (IPP) de Mme [G] a été au cœur d’un litige entre la société [5] et la caisse primaire d’assurance maladie. Après avoir reconnu un taux d’IPP de 15 % pour un syndrome du canal carpien bilatéral, la société a contesté cette décision, arguant que le rapport médical ne justifiait pas…

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