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Dans le cadre d’un litige en contrefaçon de logiciel, la société Smart RX a contesté une ordonnance du 1er juillet 2024, arguant que la présidente de la chambre n’avait pas pris en compte ses dernières conclusions. La cour a annulé cette ordonnance, constatant une violation des principes d’un procès équitable. Elle a également déclaré irrecevable…
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Dans le cadre d’un litige en contrefaçon de logiciel, la société Smart RX a contesté une ordonnance du 1er juillet 2024, arguant que la présidente de la chambre n’avait pas pris en compte ses dernières conclusions. La cour a annulé cette ordonnance, constatant une violation des principes d’un procès équitable. Elle a également déclaré irrecevable…
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Le 3 août 2017, M. [C] [W], conducteur routier, a déclaré une dépression liée au travail comme maladie professionnelle. Un certificat médical du 18 septembre 2015 a confirmé un syndrome dépressif réactionnel dû à des difficultés professionnelles. Le 4 janvier 2018, le médecin conseil a recommandé la prise en charge, validée par le CRRMP le…
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Monsieur [E] [S] a été embauché par la S.A.R.L. Brico en tant que gestionnaire de rayon, promu chef de secteur en 2017. Les relations de travail se sont détériorées, entraînant un entretien préalable au licenciement en janvier 2020. Monsieur [S] a saisi le conseil de prud’hommes pour demander la résiliation judiciaire de son contrat, invoquant…
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Le 12 janvier 2023, M. [Y] [K], salarié de la société Getraline, a subi un accident de travail en chutant d’un caisson de ventilation, causé par une barre d’accroche défectueuse. Suite à cet incident, il a assigné plusieurs parties, dont la SMACL et Ax’Nova, pour obtenir une expertise médicale de ses préjudices. Le tribunal a…
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Le 7 décembre 2017, M. [G], ouvrier qualifié, a subi un accident du travail en affûtant des couteaux, entraînant une tendinite au poignet droit. La caisse primaire d’assurance maladie a reconnu l’accident comme professionnel, mais la société a contesté cette décision. Le tribunal a d’abord déclaré inopposable la reconnaissance de l’accident, mais la cour d’appel…
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L’accident du travail survenu le 2 janvier 2020 a conduit M. [R] à une évaluation de son incapacité permanente partielle (IPP). Initialement fixé à 5 %, ce taux a été contesté par M. [R], qui a fait appel. Après une expertise médicale, le tribunal a révisé le taux à 8 %. Cependant, M. [R] a…
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L’évaluation de l’incapacité permanente partielle (IPP) de Mme [G] a été au cœur d’un litige entre la société [5] et la caisse primaire d’assurance maladie. Après avoir reconnu un taux d’IPP de 15 % pour un syndrome du canal carpien bilatéral, la société a contesté cette décision, arguant que le rapport médical ne justifiait pas…
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Monsieur [K] [M], engagé en 1976 par la S.C.E.A. Pépinières Ripoche, a été déclaré inapte en 2019 suite à une maladie professionnelle. Malgré deux propositions de reclassement, il a refusé, invoquant un manque de formation. Licencié pour inaptitude, il a contesté ce licenciement, arguant que ses refus n’étaient pas abusifs. La cour d’appel a infirmé…
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Dans l’affaire opposant le CSE Stelia Aerospace à Mme [B] [Z], la cour a confirmé que le licenciement de cette dernière était sans cause réelle et sérieuse. Bien que des erreurs de commande aient été constatées, celles-ci n’étaient pas exclusivement imputables à Mme [Z], qui n’avait jamais été sanctionnée auparavant. De plus, la redistribution des…
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L’employeur a l’obligation de rechercher un reclassement approprié pour un salarié déclaré inapte, en tenant compte des préconisations du médecin du travail. Dans le cas de Monsieur [M], la S.C.E.A. Pépinières Ripoche a proposé deux postes administratifs, que ce dernier a refusés, arguant d’un manque de formation et d’une différence significative avec son ancien emploi.…
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Monsieur [Y] [E] a saisi le conseil de prud’hommes de Nantes le 24 décembre 2019, affirmant avoir utilisé l’identité de M. [Z] [I] pour établir un contrat de travail avec la S.A.S.U. OGS Atlantic. Il a demandé le paiement de diverses sommes, y compris des rappels de salaires et des indemnités. Le 14 mai 2021,…
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Mme [O] conteste son licenciement pour faute grave, arguant qu’il devrait être requalifié en licenciement économique. Elle soutient que son absence était justifiée et réclame des indemnités. L’employeur, de son côté, invoque son absence injustifiée et son refus de répondre aux mises en demeure, considérant que son comportement rendait impossible son maintien dans l’entreprise. La…
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En date du 29 mai 2007, M. et Mme [W] ont consenti un bail rural de neuf ans à M. [Z] [C] pour des parcelles de 9ha 46a 53ca. Un second bail, remplaçant le précédent, a été signé le 1er janvier 2008, portant sur 12ha 63a 34ca. M. [Z] [C] a ensuite souhaité céder son…
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Monsieur [E] [U] [Y], agent d’exploitation puis chef de poste, a dénoncé une dégradation de ses conditions de travail suite à une réorganisation imposée par la société ANSP. Après un arrêt de travail, un médecin a déclaré son inaptitude, entraînant un licenciement pour inaptitude. Contestant cette décision, il a saisi le conseil de prud’hommes, qui…
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M. [V] a demandé la jonction de deux procédures d’appel, visant à confirmer un jugement du conseil de prud’hommes de Nantes. Ce jugement a condamné la SAS Vives Eaux à lui verser des sommes pour rappel de salaire, congés payés, ainsi qu’une indemnité pour heures supplémentaires non réglées. La cour a reconnu que M. [V]…
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Mme [T] [L], employée par Generali Vie depuis 2012, a demandé un passage à la classification Classe 5 en 2017, arguant d’une inégalité de traitement. Après des relances infructueuses, elle a saisi le conseil de prud’hommes en 2019 pour requalification de sa fonction et rappel de salaire. Le jugement du 21 mai 2021 a reconnu…
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La société Vivo Fruits et Légumes a rompu le contrat de M. [M] le 21 décembre 2021, invoquant une période d’essai non concluante. Contestant cette décision, M. [M] a saisi le conseil de prud’hommes, qui a requalifié la rupture en licenciement sans cause réelle et sérieuse le 22 mars 2024. La société a été condamnée…
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Mme [H] [Y], responsable administratif et financier à la SAS Bonneterie d’Armor, a été licenciée pour faute grave après une escroquerie de 20 850 euros due à un changement de RIB non vérifié. Contestant son licenciement, elle a argué qu’il n’était pas fondé et que l’entreprise avait manqué à son obligation de sécurité. Le conseil…
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Mme [J] [O] a été licenciée pour faute grave par la S.A.R.L. Société Brestoise de Menuiserie Isothermique (SBMI) en mars 2019, en raison d’abus de notes de frais et de commandes de matériel à des fins personnelles. Après avoir contesté son licenciement devant le conseil de prud’hommes, celui-ci a initialement jugé le licenciement sans cause…