La SARL OKDAK a vu sa demande d’enregistrement de marque rejetée par l’INPI, en raison de l’opposition de la SA KODAK, détentrice de la marque antérieure. La Cour d’appel d’Aix-en-Provence a confirmé qu’il existait un risque de confusion entre « OKDAK » et « KODAK », notamment pour le consommateur moyen. Malgré les arguments de la SARL OKDAK, qui affirmait que son nom était une contraction de « OK » et « d’accord », la cour a jugé que les ressemblances phonétiques et visuelles des marques pouvaient induire en erreur. Cette décision souligne l’importance de la protection des marques et des risques de contrefaçon.
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