Les héritiers de Picasso ont contesté la décision de l’OHMI concernant l’enregistrement de la marque « PICARO ». La Cour de justice a évalué le risque de confusion en considérant la similitude visuelle, auditive et conceptuelle des marques « Picasso » et « Picaro ». Elle a conclu qu’il n’y avait pas de risque de confusion, en raison du faible degré de similitude phonétique et de l’attention élevée du public pour des produits comme les automobiles. Cette décision souligne l’importance d’une appréciation globale des signes dans les litiges de marques.
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