Une reprise de chanson ne porte pas atteinte au droit moral du compositeur si elle ne dénature pas l’œuvre originale. Dans le cas de l’album « Les enfants du Top 50 », la cour a jugé que la reprise de « On se retrouvera » de Francis Lalanne ne dénaturait pas l’œuvre. Les coauteurs d’une œuvre collaborative doivent agir d’un commun accord, et toute modification nécessite l’accord de tous. Le droit moral de l’auteur inclut le respect de son œuvre, et il peut s’opposer à toute altération qui porterait atteinte à son intégrité.
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