Quel est l’objet de l’Arrêté du 18 décembre 2020 ?

L’Arrêté du 18 décembre 2020 a pour but de modifier l’arrêté du 9 mai 2017, qui établissait le salaire minimum des journalistes professionnels auteurs d’images fixes rémunérés à la pige. Cette modification vise à actualiser la rémunération de ces professionnels, en tenant compte des évolutions économiques et des besoins du secteur. Ainsi, le nouveau salaire minimum a été fixé à 63,01 euros, ce qui représente une mesure importante pour garantir une rémunération équitable aux journalistes pigistes.

Quel est le montant du salaire minimum fixé par l’Arrêté ?

Le montant du salaire minimum pour les journalistes professionnels auteurs d’images fixes rémunérés à la pige, tel que stipulé dans l’Arrêté du 18 décembre 2020, est de 63,01 euros. Ce montant est crucial pour assurer une rémunération juste et adéquate pour les journalistes qui travaillent de manière indépendante, souvent dans des conditions précaires. La mise à jour de ce salaire minimum reflète une volonté de protéger les droits des travailleurs dans le secteur de l’information et de la communication.

Pourquoi est-il important de modifier le salaire minimum des journalistes ?

Modifier le salaire minimum des journalistes est essentiel pour plusieurs raisons. Tout d’abord, cela permet de s’assurer que les journalistes pigistes reçoivent une rémunération qui correspond à l’évolution du coût de la vie et des conditions économiques. Ensuite, une rémunération adéquate contribue à la pérennité de la profession, en attirant de nouveaux talents et en permettant aux journalistes de se consacrer pleinement à leur travail. Enfin, cela renforce la reconnaissance de la valeur du travail journalistique dans une société où l’information joue un rôle clé.

Où peut-on consulter le texte de l’Arrêté ?

Le texte de l’Arrêté du 18 décembre 2020, ainsi que les détails concernant la rémunération des journalistes pigistes, est accessible en ligne. Il est disponible sous forme de document PDF, que l’on peut consulter via le lien fourni dans le texte. Cette transparence permet aux journalistes et aux employeurs de se référer aux dispositions légales en vigueur concernant la rémunération et les droits des travailleurs dans le secteur.