La Cour d’appel de Paris a débouté la SA TELECOMMUNICACOES MOVEIS NACIONAIS de son opposition au dépôt de la marque « Mymo » par Mme S. MOVEIS contestait la similarité entre ses produits, notamment les téléphones portables, et ceux de « Mymo », qui incluent des appareils photographiques et des logiciels de jeu. Les juges ont souligné que, bien que certains téléphones offrent des fonctions photographiques ou de calcul, leur fonction principale reste la transmission de la parole. Les produits ne répondent pas aux mêmes besoins, ne sont pas commercialisés dans les mêmes lieux et ne ciblent pas la même clientèle.
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