Un cadreur ou deuxième caméra ne peut généralement pas revendiquer la qualité d’auteur. Bien qu’il collabore étroitement avec le réalisateur et possède des compétences techniques avancées, son rôle reste utilelement technique, guidé par les directives du réalisateur. Des échanges par courriel, même s’ils montrent une collaboration, ne suffisent pas à prouver qu’il est co-réalisateur. Dans une affaire récente, un cadreur n’a pas réussi à démontrer son statut de co-réalisateur, son travail étant clairement défini comme celui d’un opérateur sous la direction du réalisateur, respectant ainsi les conceptions de ce dernier.
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