Un organisateur de soirées a utilisé sans autorisation l’image d’une mannequin, initialement prise pour une campagne publicitaire, sur un flyer diffusé sur Facebook. La modèle a demandé le retrait de son image et une indemnisation, arguant que son droit à l’image avait été violé. L’organisateur a tenté de justifier l’utilisation par une autorisation tacite, mais n’a fourni aucune preuve. Le tribunal a reconnu l’atteinte à son droit à l’image, affirmant que toute violation entraîne un préjudice automatique. Bien que la mannequin n’ait pas prouvé l’ampleur de son préjudice, elle a été indemnisée à hauteur de 1.500 €.
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