Le 14 mars 2023, la Cour d’appel de Grenoble a confirmé le jugement du Conseil de prud’hommes de Montélimar concernant le licenciement de M. [S] par la SA AMAZON FRANCE LOGISTIQUE. La cour a jugé que le licenciement reposait sur une cause réelle et sérieuse, et que l’employeur n’avait pas violé le statut protecteur dont M. [S] aurait pu bénéficier en raison de l’imminence de sa candidature aux élections professionnelles. De plus, la cour a estimé qu’il n’y avait pas de discrimination syndicale dans la décision de licenciement, déboutant ainsi M. [S] et le Syndicat CGT AMAZON MONTELIMAR de leurs demandes.
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